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L’Aurore, 17 octobre 1949

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L’Aurore
17 octobre 1949


Extrait du journal

Il s agissait de savoir ce que le digne magisti at. qui occupe lu gourd hue les importantes fond étions de conseiller mute pal, pense du programme de salut a tonal du Parti. L’alerte vieillard en pense beaucoup de bien. Il est d ailleurs » partisan de la liberté de pense# », non seulement peur lui, qui n'en fait pas un usage éxcest'f mas encore pour les au tues. qui apprendront la nouvel# avec joie. L’ordonnance de Gaulle, du 14 août 1946, • permettant de priver arbitrairement des citoyens de leurs droits civiques • choque • le légiste qu’il est *. car |l a toujours l’impression d’être quel que chose. Son bon coeur s’étonne que • des hommes comme de Laborde et Marquis • n'aient pas e e fusillés : ça, c’est du Mornet-biffe, et pas du plus frais. Enfin, il est communiste, ce qui n tonner personne, aucun outre régime payent autant de pendue a offrir à la concupiscence d’un pieu* • partisan de le liberté de pent sue »....
L'Aurore (1943-2001)

À propos

L’Aurore, ainsi nommé en référence au titre créé par Georges Clemenceau en 1897, est un quotidien clandestin, fondé à Paris en 1943 par Robert Lazurick, homme politique et membre du Front populaire. À partir de 1981, le journal paraît sous le titre Le Figaro Aurore, avec le même contenu que le Figaro.
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