PRÉCÉDENT

L’Auto, 10 février 1917

SUIVANT

URL invalide

L’Auto
10 février 1917


Extrait du journal

Que M. Chéron n'ait pas reculé devant une pareille perspective, cela se conçoit, car l'honorable 'sénateur du Calvados n'est pas pour recuLe.r ni devant la multiplicité des tâches, ni devant la ,résolu| tion qu'il semble avoir prise de n'étudier *à fond aucune de celles qu'il se propose; cela se conçoit fort bien. Que M. Laehaud, un autre parlementaire, soit tombé dans l'erreur de l'Obligation, cela n'est pas impossible ; un député ne peut pas tout savoir, surtout l'admirable mouvement de rénovation physique qui s'est, produit en France depuis trente ans. Ce sont les sociétés de clairons, les fanfares, musiques, orphéons, boys scouts et sociétés de Préparation Militaire qui sollicitent surtout l'attention de nos honorables par des demandes de prix et des promesses de bulletins de vote favorables, tandis que les jeunes sportifs se contentent de se donner du mouvement sans rien réclamer de personne....

À propos

L’Auto-Vélo est une feuille sportive ayant paru entre 1900 et 1944, rebaptisé L’Auto dès 1903. Le journal est dirigé par Henri Desgrange jusqu’en 1931, date à laquelle il est remplacé par Jacques Goddet, qui fondra L’Équipe au sortir de la guerre. En 1903, la publication organise le premier Tour de France ce qui marque le début de son succès. Pendant la première moitié du XXe siècle, il est le principal périodique français spécialisé dans l’actualité sportive, et tire à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires.

En savoir plus
Données de classification
  • lachaud
  • mérillon
  • bonnardel
  • nourry
  • thys
  • choublier
  • mohr
  • coussy
  • chéron
  • blant
  • paris
  • france
  • monastir
  • larue
  • allemagne
  • londres
  • berlin
  • rouen
  • suisse
  • ypres
  • union postale
  • cologne
  • stade français
  • iu
  • cour de cassation
  • comité national des sports
  • parlement
  • palais des sports