Extrait du journal

Il a toujours cru à une entente potfaible entre le patronat et. le salariat. truand il voyait des camarades aux prises avec les abus d'un mauvais patron. il accourait et défendait avec acharnement leurs droits, mais il n’a jamais considéré la grève que comme un moyen désespéré, dont il ne fallait user qu’après avoir épuisé toutes les tentatives de conciliation. Il m’a dit bien des fois que ce qu'il redoutait pour le syndicalisme c'était la désespérance qui suivait l’échec d’une résistance mal préparée....