Extrait du journal

F.li bien, entendez-vous. je vais vous faire ici une très* importante continence. Il o-d fort possible que nous finissions par trouver un terrain d'accord entre la France cl l’Angleterre en ce qui a Irait au règlement des réparations par le- Allemand- ! Vous savez que fou- sommes de bons amis, bien que parfois des apparences prouvent que, tout de même, nous n’avons pas ’« le crâne fait pareil >•. Vous savez ans»! que tout en voulant les uns et les autres, de chaque côté de ce bras d’eau qui s’appelle Manche, voir le Heieh (s’iiH-liner devant les obligation- que Uni impose le traité signé par ses reg>ré#i('ntauls à Versailles, nous avons lies façons, sinon contradictoires, au moins passablement distinctes, de comprendre ce que peut être la pression tur le débiteur et même et surtout la contrainte. Je n’insiste pas, car souligner celte nuance serait peu « allié », |)r-u « frère d’armes ». Mais ce que j'ai le devoir impérieux de dire, sans retenir les mois, et ce matin même où je vieil- de l’apprendre, e’e^l qu'il y i< un fait nouveau, un grand fait nouveau, qui me df montre une vérité inespérée. qui me transporte de joie et qui. j'o.te le croire, vous fera un bien grand plaisir. Je ne cuis point si soucieux île lu progression savante des « effets » tie la gradation des nuances qui don aient à un article bien construit un intérêt. croissant de ligne en ligne, pour attarder plus longtemps, et avec une cruauté qui serait impardonnable, la révélation du /

À propos

L’Avenir est une publication quotidienne, paraissant à partir du premier janvier 1919. Il remplace Oui, lancé une année auparavant par l’homme politique Henri Lilliaz pour lequel contribuait des personnes du monde politique et littéraire comme Pierre Laval et Henry de Jouvenel. Au moment de la création de la feuille, le député de droite Charles Chaumet en est le directeur politique de la publication et le journaliste Louis Latzarus le rédacteur en chef.

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