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Le Bien public, 31 janvier 1878

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Le Bien public
31 janvier 1878


Extrait du journal

Les obligations de Bône à Guelma sont de mandées 4 3 6 fr. Les marchés allemands apportent des cours faibles. Les Chemins autrichiens sont en baisse 552 50. Les Lombards à 172. On cote les Saragosse à 378 75. L’Italien se négocie de 73 70 à 73 80; le Florin d’Autriche à 65 T/2 ; le Turc est faible à 9 15. Les fonds Russes sont moins bien tenus, après SU 1/2, le 5 0/0 1870 cote 89 7/8, le 5 0/0 1877 reste à 86,25. Les obligations Egyptiennes subissent une assez forte réaction. Le Gaz se tient â 1,360, le Suez à 572, les Délégations A 625. Le Gas de Madrid est très ferme à 578 75. Les Fonds anglais sont arrivés avec 1 1/16 de baisse à la 1" cote, ils le regagnent à la 2*....

À propos

Lancé par Henri Vrignault au mois de mars 1871, quelques jours seulement avant la Commune de Paris, Le Bien public rejoint dès sa naissance les rangs des journaux protestant contre les élections organisées par le Comité central. Interdit un mois après son lancement, le journal réapparait à la chute de la Commune. Républicain et conservateur, Le Bien public devient alors le journal porte-parole d’Adolphe Thiers. Lorsqu’il tombe entre les mains d’Athanase Coquerel en 1874, il se teinte également d’une couleur fortement anticléricale.

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Données de classification
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