Extrait du journal

— Tu tiens donc à me faire connaître M. Carlos et Mme Christine ? dit en riant Poriace. — Oh ! c’est aussi indispensable à tout homme qui aborde en ces parages, qu’à tout honnête Rayon nais de prendre trois fois par jour son chocolat et son verre d’eau, et d’aller au moins une fois l’an dans son cher uiarrilz, abominable plage sans verdure, sans maison et presque sans auberge (t). Nous laisserons les trois amis se diriger en cau sant vers le logement de l’officier, et nous ne les re joindrons que le soir, après le dîner, au moment du départ de la compagnie. Les hommes étaient dans la cour de la caserne du vieux château, sur les remparts, sac au dos, quand cinq heures vinrent à sonner. L’appel étant fait et rendu, lecapitaine, jeune officier de trente-deux à trente-trois ans, son lieutenant, le chef de calotte avec lequel nous avons fait connaissance, de Valfrond, prirent leurs rangs, puis le détachement sortit (I) On ne doit |>as oublier que nous parlons du Biarritz de 1834....