Extrait du journal

Bile n’a jamais été aussi symbolique que maintenant, la fière devise de Térence : « Je suis homme, donc rien de ce qui est humain ne m’est étranger ». Si Térenee revenait parmi nous, il se rait fort à plaindre. « Je suis homme, dit-on aujourd’hui, donc tout ce qui est humain m’est étranger ». Et les meilleurs, s’ils ne le disent pas, sont prêts à le payer. On est pratiquant de l’égoïsme sur tous les terrains, le national comme l’individuel. On masque cela sous le Primuyn vivere classique, le « d’abord vivre » des faibles. Les gens, craignant...