Extrait du journal

..ràmënt du chanteur et à celui du comédien. Dans les concours auxquels, il m'advient d'assister, c'est–après la voix, l'agrément physique,.et la prononciation distincte le mérite qui m'intéresse lemieux.Sans doute.onne saurait exiger d'enfants de vingt ans qu'ils attestent, d'emblée, toutes les qualités ..Je verrais même bien des avantages à ce qu'ils' en fissent les acquisitions successives. Pourquoi l'enseignement dé la déclamation ne se graduerait-il point comme celui de la musique? Un bon élève lyrique peut gagner ses galons, tour à tour, dans le solfège, ensuite dans le chant, enfin dans l'opéra ou Topera-comique!1 Il serait profitable qu'un pareil ordre de travait fût permis- à l'élève comédien, dont l'art a son solfège qui est la diction. Le premier degré, serait la classe de diction. Là, on barrerait la route à ceux qui bégayent ou qui zézaient ou dont l'accent d'Auvergne semble indélébile. Un prix de diction serait nécessaire pour être admis dans la division supérieure dans la 'classe « d'art dramatique ». Ici l'on apprendrait à « mouvementër » un dialogue, à écouter l'interlocuteur il faut croire que c'est malaisé puisque trois acteurs sur quatre 'n'écoutent pas à se tenir et à marcher sur les planches, à comprendre le mouvement d'une pièce, à en débrouiller la mise en scène, enfiaà ss costumer....