Extrait du journal

C'est peut-être dans cette raisoa-qu'il faut chercher la cause qui, voilà tantôt quelque douze ans, fit un beau matin, du jeune écrivain déjà admiré par un groupe de jeunes gens studieux et de penseurs discrets, un homme célèbre. C'est qu'il s'était pris a cette curiosité, dédaignée alors ou tout au moins un peu méprisée, qui est simplement ceHe deFAme.Ce délicat poète s'était avisé, que sous les adultères dont les romans à la mode nous détaillaient alors le geste uniforme et le cérémonial morose, pouvaient gronder des drames de consciences,-terribles. Il songea que des tragédies muettes pouvaient se jouer, dans le cadre d'un boudoir parisien, parmi les papotages des coquettes et les futilités d'un luxe rassurant, entre un adolescent et une jeune femme oui lui offre une tasse de thé....