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Le Gaulois, 6 mars 1858

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Le Gaulois
6 mars 1858


Extrait du journal

11 faut croire que nous sommes trop flasques à celte heure pour les âpretés de l'ironie, trop soucieux pour les intérêts littéraires, trop ennuyés de ceci, de cela, et du reste, pour ressentir une colère vis-a-vis de ces courtauds de boutique qui entrent dans le journalisme à leur aise, la, comme chez eux, i l qui examinent les intérêts et la dignité île l’art avec la même plume qui met l’acquit au bas des factures de commande. Donc, .il est positif que M. de |.atartine n'a pas fait Graziella, M. I.scydier en est tout à fait convaincu, et il nous l’affirme avec la haute autorité de son six le et la persuasion inhérente à son doux petit nom de Marie. L'auteur des Méditations, de Jocelyn et de V Histoire des Girondins, n’est qu'un vil plagiaire qui s’est mis à détrousser sans vergogne je ne sais quel vicomte de Forbin—un essayiste de idem pire! — et Cbvz.*!?//«reste un simple décalque de Charles Barimore. Et quand cela serait, quadruples., musiciens que vous êtes! y a-t-il vraunenl dansGraziella autre chose qu'une émotion ressentie et commune...
Le Gaulois 1857-1861

À propos

Le Gaulois est un hebdomadaire satirique ayant paru entre 1857 et 1861. Il est rendu célèbre par les portraits caricaturaux qu’il publie dans ses pages. Toutes les personnalités connues du milieu du XIXe siècle y ont été dessinées, notamment par les caricaturistes Étienne Carjat, Paul Hadol et Alfred Grévin. Malgré un succès initial, le périodique est en perte de vitesse dès 1859. La publication s’interrompe plusieurs fois et la rédaction est recomposée.

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