Extrait du journal

La physionomie de Paris vient en huit jours de se transformer totalement les quartiers riches de t'Ëtoite à ta Madeleine, du parc Monceau à Passy, deviennent déserts les volets se ferment aux maisons, les abords des églises, le dimanche, n'ont plus leur animation habituelle tes fidèles sont ctairsemés dans tes nefs où, hier, se pressait la foule pieuse envolées t tes élégantes Parisiennes qui faisaient du sehtter de la Vertu et de la Potiniére le plus bel ornement; fermés tes théâtres; abandonnés les cercles disparue la tenue rafnnée de nos jeunes snobs consternés les boutiquiers parisiens qui vont chômer deux mois désertes les salles de rédaction des journaux où il ne reste que le strict nécessaire de rédacteurs encombrées tés gares, vides les taximètres parties vers des rivages peut-être ptus chauds les lourdes autos garnies de voyageurs avides 'de respirer. la poussière des grands chemins....