Extrait du journal

Les ouvriers français sont, d'ailleurs, prévenus que dans l'éventualité d'une expatriation imprudente, ils risqueraient de se trouver pendant un Jemps assez long en détresse à l'étranger, la faveur du rapatriement aux frais, de l'Etat ne pouvant être. accordée que dans la limite des crédits budgétaires assez restreints et seulement un an au moins, en principe, après leur départ. Tout cela est parfait. Mais mieux encore serait la chasse par les agents de la Sûreté générale aux auteurs des annonces et affiches faisant des promesses fallacieuses aux employés et ouvriers français en quête d'emplois.....