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Le Gaulois, 15 novembre 1883

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Le Gaulois
15 novembre 1883


Extrait du journal

rendre, si on le contrariait, un tablier qui ne tient plus que par un fil sur son petit ventre de Figaro bedonnant. A l'heure qu'il est. M. Coqueiin fait son service à la Comédie Française comme un garde national, et non pas en soldat de l'armée permanente, c'est-à-dire quand il lui plaît et comme il lui plaît. Et le chef du poste, M. Emile Perrin, bon commandant pourtant, s'il en fut, et qui ne demanderait qu'à maintenir une exacte discipline, est forcé de fermer les yeux, sous peine de voir M. Coqueiin, mécontent, quitter la Comédie-Française dans quelques jours, pour retourner à ses * chères études »....

À propos

Lancé par Edmond Tarbé des Sablons et Henri de Pène en 1868, le journal de droite Le Gaulois se définit comme un « journal des informations du matin et moniteur de l’ancien esprit français ». Sans surprise, son lectorat, assez limité, appartient essentiellement à la grande bourgeoisie. En 1929, le journal est absorbé par Le Figaro.

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