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Le Gaulois, 20 janvier 1922

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Le Gaulois
20 janvier 1922


Extrait du journal

Est-ce que l'heure est grave, au sens où l'ente-ndenit ses adversaires, Lorsqu'ils essayent d'affoler le-pays par la prédiction de la guerre ? La guerre, elle est, au contraire, dans le renoncement des nations leurs intérêts et à leur droit, qui les désigne comme des proies faciles elle, serait, pour la France, dans le lâche abandon de ses réparations et de ses garanties, qui précipiterait la revanche allemande. La force à la main, devant la mauvaise foi de l'Allemagne, nous n'avons rien à redouter d'elle. Dé-sarmés ou simplement diminués, nous restons sous le coup de sa haine, qu'aucune alliance n'est capable die nous épargner....

À propos

Lancé par Edmond Tarbé des Sablons et Henri de Pène en 1868, le journal de droite Le Gaulois se définit comme un « journal des informations du matin et moniteur de l’ancien esprit français ». Sans surprise, son lectorat, assez limité, appartient essentiellement à la grande bourgeoisie. En 1929, le journal est absorbé par Le Figaro.

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