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Le Gaulois, 20 mars 1911

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Le Gaulois
20 mars 1911


Extrait du journal

scrutateur, de ce Bossuet qu'il appelait le conseiller d'Etat de Di&u, le Brunetière déjà de mes années de jeunesse où il souffrait d'enseigner plus médiocrement. Et tout d'un coup, dans cet intellectuel musée, voici que je rencontre quelque chose de surprenant. Dans un des derniers Numéros, une signature insolite. Qu'est-ce donc ? Quel est ce nouveau, qui pour un coup d'essai trouve un coup de maître, et sans barguigner, s'en va rejoindre la plus glorieuse des .théories ? Dix lignes de lecture, et l'on sait. Ce nouveau n'est pas~de la confrérie. Je ne dirai .point que cela se voit tout de suite, car à tout prendre, l'allure de sa prose n'est pas plus compromettante que beaucoup d'autres. Mais le thème instruit dès l'abord. Il n'y a point à en douter. Voilà bien le document et le fond du sac d'un valet de chambre. Et c'est un valet de chambre, en effet, qui, aujourd'hui, S'en vient collaborer....

À propos

Lancé par Edmond Tarbé des Sablons et Henri de Pène en 1868, le journal de droite Le Gaulois se définit comme un « journal des informations du matin et moniteur de l’ancien esprit français ». Sans surprise, son lectorat, assez limité, appartient essentiellement à la grande bourgeoisie. En 1929, le journal est absorbé par Le Figaro.

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Données de classification
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