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Le Gaulois, 21 octobre 1878

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Le Gaulois
21 octobre 1878


Extrait du journal

Notre agitation centraliste va être paralysée, la liberté de la parole sera étouffée. Mais on laisse encore aux travailleurs la. famine, l'atelier commrn, le cérc)e de l'amitié, et ces trois choses formeront l'indestructible, pont qui conduira à l'instruction et & l'entente sur les idées et.s'~ les intérêts communs. Beaucoup d'écrits ont été, jusqu'à ce jour, consacrés Maquestion socialeT étudions-!es. L'étude, c'est l'instruction, c'es le progrès: c'est le rempart qui nous protégera contre Impression intellectuelle. En ce temps de loi d exception ii nous manquera l'unité de direction, et cette perte nous sera sensible. Mais notre parti saura s'accommoder de cette situation. Depuis quinze ans, il s'est .assez discipliné pour...

À propos

Lancé par Edmond Tarbé des Sablons et Henri de Pène en 1868, le journal de droite Le Gaulois se définit comme un « journal des informations du matin et moniteur de l’ancien esprit français ». Sans surprise, son lectorat, assez limité, appartient essentiellement à la grande bourgeoisie. En 1929, le journal est absorbé par Le Figaro.

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