Extrait du journal

Je revenais de Goritz, où nous avions rendu les dierniers devoirs au chef de la Maison de France. Je faisais route sur cette côte dalmate, baignée par l'Adriatique, que nos amis latins appellent amère. Je l'ai encore devant mes eux, resplendissant du soleil eut de l'azur d'Italie, douce et tiède, avec son col'ier étincelant de villes italiennmes. Un de mes amis, qu'un long séjour avait rendu presque Italien, s'était fait mon guide. 11 me gourmandait de ne pas m'arrêter plus longtemps sur cette côte enchaînée et, pour aviver mes regrets, il m'en faisait les honneurs en des termes si enthousiastes, si vibrants et si colorés que je ne les ai pas oubliés....