Extrait du journal

Ni la force de la pensée, n2 les grâces de la forme, ni la splendeur du vrai, ni les séductions d'un récit habilement conduit ne suffisent à donner de la vitalité à un roman. Des maximes, un traité dé philosophie ou ,de politique peuvent s'imposer à la postérité paice qu'ils sont l'expression d'une réflexion longuement mûrie, d'une expérience éclairée. La plus fine psychologie, la science des passions et des caractères n'assurent pas la continuité du succès à l'œuvre du romancier....