Extrait du journal

On a lu notre article. On sait avec quelle modération nous avons parlé de l'incident; on nous rendra cette justice que nous avons plaidé la conciliation. C'est nous qui avons parlé des égards que doit M. Faure au public nous voulions lui indiquer ce terrain neutre, afin d'ouvrir une échappatoire à sa méchante humeur et pour lui permettre de faire une rentrée honorable à l'Opéra. Mais, vraiment, on aimerait mieux se résigner à pntendre pour le reste de ses jours /famlet chanté. par M. Hyacinthe, du Palais-Royal, que de conseiller au directeur de notre première scène lyrique de -signer son décret de déchéance dans une si pitoyable forme. Ce document est pénible on a beau le retourner et le lire dans tous les sens en débutant par le commencement, par la fin ou par le milieu, en remontant et en descendant le courant de cette prose singulière, on éprouve la même tristesse. On ne sait qui il faut plaindre le plus, de cet infortuné directeur qui a accepté, de ces trois mousfjuetairps"qtii ont rédigé ou de ce baryton qui a dicté une telle humiliation h un directeur dont il tenait la fortune dans ses mains. "̃'̃̃'̃...