Extrait du journal

C'est un grand honneur pour l'Italie, patrie des arts, qu'il se soit trouvé un lcandidat et des électeurs d'accord sur ce tprogramme idéal. Chez nous, le monde apolitique serait tout à fait incapable, j'en .ai peur, de donner un aussi noble spectacle. Je ne vois pas d'ici la réunion publique où l'orateur expliquerait à son auditoire les différentes définitions du Beau, depuis Aristote jusqu'à Victor ,Cousin, — définitions dont aucune n'est, d'ailleurs, satisfaisante, - et je m'imagine difficilement les murailles d'une circonscription placardées de prose où seraient cités Platon et Winkelmann....