Extrait du journal

Il y a du plein air, de frais embrayes, de belles vagues chantantes — huiles les magnificences et Içs douceurs de ta ne. Et des hommes ont été mourir asphyxiés dans au égout de Pans. Ils riaient cependant en pleine jeunesse, en pleine force. Lents muscles et leurs chairs se seraient admirablement joués par miles les cléments naturels. Pour gagner leur puni et celui de leurs familles titres tiens quelque taudis d’un sixième de faubourg, ils ont dû. par une après-midi resplendissante de cet été, sacrifier ignoblement leur existence, dans la puanteur d’un des boyaux de la ville tentaculaire....