Extrait du journal

il paéaîE que ce n'est pas un prétendant pour rire, (,[ne NI. le duc d'Anjou. 11 est tout à fait décidé à établir, de façon définitive, ses droits à la couronne de France. C'est aux tribunaux français eux-mêmes, c'est au tribunal civil de la Seine qu'il va adresser son appel les juges auront d'ici peu à se prononcer entre le duc d'Orléans et lui. Non pas quii exige une reconnaissnnce formelle de ces droits, ce qui serait beaucoup exiger de la magistrature de la 'troisième République, mais le débat qu'il va lui soumettre entraînera fatalement une décision qui pourrrait reléguer au second plan les prétentions du duc d'Orléans. Il ne s'agit de rien moins que de savoir une fois pour toutcs à qui appartienent les armes de France, les armoiries pleines, d'azur à trois fleurs de lys d'or....