Extrait du journal

LES DEUX_CHEMINS Cette ibis, c'est bien là dernière page du' livre; le point iinal de ce roman extraordinaire. Tout a éti'; ditsur la mort, l'enterrement. a eu lieu. la pierre du tombeau est pour jamais scellée, e< (tans deux jours au plus, ceux qui .prononceront ee nom de Boulanger sembleront réveiller des échos d'un autre âge. N'est-ce pas déjà bien tard pour en parler encore aujourd'hui ? Je le ferai cependant, car une chose est plus étrange que tout le reste dans cette aventure pourtant si étrange par elle-même c'est le calme, la tranquille indifférence, le scepticisme de blasés avec lesquels nous acceptons, nous regardons passer les événements les plus inattendus et les plus (singuliers, ceux qui commanderaient le plus les méditations salutaires, et sur lesquels, autrefois, pu aurait si longtemps philosophé 1...