Extrait du journal

Et les coups mortels, les affreux sévices que les compatriotes d'un Emerson, d'un Ruskin infligèrent à Hambourg, Anvers, à Rome et à Berlin, "hier à Pise voilà maintenant que Paris en est menacé Il y a peu (c'était au mois de mai dernier) le général Franco, prenant la parole à Cordoue et rappelant des circonstances analogues à celles que nous traversons. pouvait affirmer, en rendant hommace à ses compagnons d'armes < Ceux qui ont combattu au pont d'Alcoléa ont sauvé les monuments du cassé sans eux. nous aurions perdu jusqu'à ces pierres mêmes, que des hommes de Moscou auraient rasées. »...