Extrait du journal
La France n'était pas alors couverte ide l'admirable réseau de chemins qui sont une de ses supériorités partout reconnue. En dehors de ses « routes royales », royalement belles, royalement larges, rôvalement ombragées d'arbres, et sauf quelques voies provinciales, ducades, comtales, de-ci, de-là, le cheval seul et, faute de « coursiers les seules jamlies permettaient de se tirer du bourbier, de la glaise, du marais, des casse-cou. Pauvres touristes Mais .il n'y avait point réellement de touristes à cette époque rien que des voyageur. Comme, quelques siècles auparavant, on. ne trouvait guère à courir les routes que des commerçants, des colporteurs, des pèlevins et, bien entendu, des hommes d'armes car, en ce temps, personne ne parlait de désarmement pas plus qu'on ne disposait à cette époque de routes vraiment « routes », dans le sens présent du mot, il n'y avait que pistes, directions, coupées dans la forêt, « drailles » ou passages de troupeaux de moutons, et rien de tout cela solidement tassé, « ferré. », muni d'accotements, pourvu de ponts. C'est dai%s ces condilions-là qu'on négociant français, établi en Portugal, fit quarante et une fois dans sa vie, à califourchon sur son genêt d'Es-' pagne, les pistolets dans les 'fontes, le voyage de Lisbonne à Paris, aller .et retour....
À propos
Lancé en 1883 sur le modèle du quotidien britannique le Morning News, Le Matin se revendiquait être un journal novateur, « à l’américaine ». Son directeur Alfred Edwards entendait donner « priorité à la nouvelle sur l’éditorial, à l’écho sur la chronique, au reportage sur le commentaire ».
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