Extrait du journal

S M. Roosevelt .IL POURRAIT FAIRE CESSER LA GUERRE EN OTANT AUX ANGLAIS LEURS DERNIJES ILLUSIONS M. Franklin Roosevelt, qui n'a de doutes sur rien, ne doit guère en avoir sur le sort final qui attend l'Angleterre. Battue aujourd'hui, elle risque d'être écrasée demain. Si le président avait quelque hésitation là-dessus dans l'esprit, un homme la lui enlèverait sur l'heure. Cet homme, qui a été son ambassadeur et qui est .resté son ami, est M. John Kennedy, hier encore représentant des Etats-Unis à la cour de Saint-James....