Extrait du journal

M. Franklin-Bouillon n'est pas de ces hommes qu'une difficulté décourage. Il fut le premier parlementaire qqi, devant une Chambre dupe ou peureuse, osa flétrir 'le sabotage de la victoire organisé par les négociateurs du traité de Versailles. Ce discours, qui suffirait l'honneur d'une vie politique, lui ayant coûté provisoirement son siège au Parlement, il a mis ses loisirs au service du pays. On se doute que si les communications télégraphiques et postales ne sont pas des mieux assurées en France, elles ne doivent pas l'être du tout entre Paris et Angora. Pour dissiper le malentendu, M. Franklin-Bouillon dut revenir au Qùai-d'Orsay....