Extrait du journal

Sans doute objectera-t-on qu'il fallait bien payer certains excès de surcapitalisation, de développements excessifs d'industries neuves nécessitant des amortissements précipités. Mais ces corrections ne sont pas de nature à changer sensiblement un bilan qui est le résultat de la dépréciation des rentes, de l'élévation du taux d'intérêt, de la réduction voire de la suppression des dividendes, des réductiond de capital qu'ont subi de nombreuses entreprises et de la faillite et de la liquidation de beaucoup d'autres....