Extrait du journal

Des deux cas, celui de François-Joseph est de beaucoup le plus simple. A côté d'une santé physique parfaite et admirablement équilibrée, l'empereur d'Autriche parait doté d'un système nerveux et sensitif tout à fait inférieur. François-Joseph a toujours fait preuve de facullés intellectuelles au-dessous de la moyenne. On aperçoit facilement chez lui des signes apparents de cette infériorité front déprimé, masse encéphalique d'un volume inférieur à la normale, parois crâniennes' d'une épaisseur excessive. François-Joseph semble n'avoir jamais rien compris, ni mêmes rien senti de tout ce qui se passait autour. de lui. Les catastrophes les plus effroyables ont fondu sur son empire et sur sa famille il a été mêlé aux plus sombres drames, publics et domestiques, où le tragique le disputait à l'ignoble il a vu les siens disparaître autcur de lui dans le tourbillon des vices Jes plus malpropres, ou périr sous les coups du fanatisme, toujours avec l'air (i absent » de l'homme auquel rien ne peut faire perdre le calme de ses faciles digestions.. •...