Extrait du journal

Avec le printemps nous reviennent les moustiques qui, sous des patronymes divers, se chargent, pour nous les apporter, de tant de virus, paludisme, dengue, fièvre jaune, etc., qui, tout au moins de leurs menaçantes chansons et de leurs dards acérés, nous chassent des sites champêtres, où, sans eux, nous goûterions la paix des beaux soirs. Le mal augmente à mesure que se trouvent satisfaits les besoins d'eau toujours croissants. De plus en plus, même aux environs de la capitale, le fléau que rẽ" présentent les moustiques gâte l'agrément de nos vili légiatures d'été....