Extrait du journal

iêtait simplement M. Pou Yi, vivait discrètement, paisiblement, d'une assez faible rente, en citoyen modeste et sans ambition. Il semblait alors ne plus se souvenir qu'il était le dernier héritier du trône lue plus ancien du monde. Il semblait oublier que, au début du siècle, il avait vécu dans l'ombre auguste et le solennel mystère qui, pour des centaines de millions d'êtres, enveloppait la Dynastie du Céleste Empir,e., Il se (refusait à^voquer les souvenirs de. son enfance, l'écroulement d'un ordre immémorial qu'il était né pour continuer, les jours tragiques où la Chine immense, privée soudain de maître, .vacillant déjà sous une liberté trop lourde pour elle, hésitait sur Son destin....