Extrait du journal

tabouret du piano. A la grande joie du clown et des spectateurs... Eh bien I je pense que nous avons adopté l'attitude du clown : nous ne pensons pas assez, du moins dans les cercles administra tifs, à simplifier les choses ; et les décisions les plus compliquées, les projets les plus désuets ou prématu rés, flattent aujourd'hui notre goût pour la chimère ou les nombreuses spécialisations. Et pourtant, nous étions nom breux qui pensions que l'on pouvait faire descendre les tribus affamées ou malades vers des territoires plus favorisés, plus proches de la mer et encore peu peuplés. Nous n'avions pas voix au conseil......