Extrait du journal

xdans un dès derniers numéros de la Rue, a dépeint le Dépôt des femmes avec un réalisme saisissant, en se servant d'une façon magistrale de couleurs sombres, émouvantes comme une toile de Ribéra, mais attristantes pour 1'esprit et le cœur. M'est avis que si le fidèle et déjà illustre chroniqueur Jules Vallès avait demandé à Ferrarid un verre de son grand cordon impérial, mon jeune confrère eût promené sa plume à travers les bosquets de fleurs, et non dans les salles mélanco*ce matin, en m'éveillant, sans sujet digne d'êtré traité, ne trouvant dans les journaux que les nouvelles des Parlements allemands et les correspondances de Johnson, le président américain, c'est-à-dire des matières qui ne sont pas de ma compétence....