Extrait du journal

L'Union s'est tue, aussi parce qu elle ne saurait .admettre qu'on l'obligeât à rectifier tous les faux bruits qu'il peut plaire à certains journalistes de répandre sur les actes ou les intentions dé M. le comte de Chambord. Des récits ridicules' publiés par plusieurs journaux, il né restera que l'aveu de la place que tient le chef de la maison de France dans les préoccupations des hommes politiques. Quant à nos amis de province, que ces bruits paraissent émouvoir, ils doivent savoir que l'Union ne laisserait à personne le soin de dire bien haut, si l'heure était venue Place au Roi...