Extrait du journal

Les Grecs et les Romains regardaient les parfums comme un signe évident de la présene des Dieux. Jamais un de leurs poètes ne se fût avisé de faire apparaître une divinité sans la faire précéder d'une forte bouffée d'ambroisie. Le culte catholiquo a conservé pour ses cérémoniels ce mode renouvelé de l'antiQuand, prosternés, recueillis, émus, nous entendons le service divin, c'est l'odeur de l'encens qui, même à Paris, se joint à la voix des enfants de chœurjour élever nos esprits,...