Extrait du journal

LE BEAU FRANÇOIS IX—Suite Révélation — Je ne te comprends pas. — Tu ignores ce qui se passe, tu ne sais pas ce que l'on raconte? — Marguerite, où veux-tu en venir? . — Ta m'embarrasses, tu me troubles... Tiens, j'aurais bien fait de ne te rien dire du tout.Et pourtant... Eh bien! non, je ne peux pas te laisser dans l'ignorance, il faut que tu saches. Julie, j'ai à peine un an de plus que toi, tou tes petites nous nous amusions ensemble, nous avons toujours été bonnes camarades et je suis restée ton amie, peut-être ta meilleure amie. Aussi, je t'en prie, ne prends pas en mauvaise part ce que je vais te dire; je serais désolée, vois-tu, si tu pensais que j'agis avec une mauvaise intention. — Mon Dieui Pourquoi prendre tant de précautions-? Je sais bien que tu es mon amie, et aussi une brave femme. Allons, Margue rite, qu'às-tu à me dire? Parle, parle! — Eh bien! Julie, ta fille et le beau Fran çoisse' donnent des rendez-vous. Là mère Lucotte.pâlit affreusement. 9) Reproduction interdite. Traduction réservée»...