Extrait du journal

une lettre au Maréchal : « C'est le «leur .serré que nous retrouvions en la personne «le votre délégué, un peu «Je vie de notre belle France, yu'll nie soit permis, en vous offrant la photographie de mes enfants, «le vous témoigner les marques de notre con fiance invulnérable par ces mots que nous pouvons lire ici en zone occu pée : Vu seul pays, la France. Un seul chef, je maréchal Pétain. Un seul devoir : obéir. » Mais bientôt, hé as, de nouveaux raids sur la Bretagne, cette fois, provoquaient une autre nussion dont toute la presse a souligné la récon fortante portée : visites dan* les hôpitaux, les blessés de Lorient, de Morlaix, de Brest, n'oublieront pas lo geste du Maréchal a leur égard ni le.le toute petite fille amputée dune Jambe, visitée à Vannes; ni tel humble sinistré, père d’un bébé de 4 jours et dont tout l’avoir tenait dans un modeste mouchoir, ni aucun «le ces rude* Bretons du littoral qui ont acclame aux cris répétés «le : Vive le Maréchal, le passage de son délégué. L'écho de cette bienveillante pré sence du Maréchal parmi les ruines «le nos provinces a, d'ores et déJA. commencé A susciter de touchantes initiatives Ce sont des chantiers de Jeunesse qui envoient pour les en fants «les villes sinistrés, des Jouets faits «taris leurs groupements. Ce sont des dons qui viennent s'ajouter à ceux «lu Maréchal. Cost ainsi. qu'A peine rentré de Bretagne, le colonel Bonhomme s’ap prête A repartir pour la Normand e ou de nouvelle* souffrances ont. A leur tour besoin d’être adoucies. • Je veux, disait le Maréchal, le 13 août i9»o, que tous les Français sachent bien qu© 1 adoucissement de leurs souffrances est l'objet constant de mes pensées. »...