Extrait du journal

pos n’est bon ni pour le corps ni pour l'intelligence, mais j’y avais droit et je n’ai consenti à briguer de nouveau les affaires publiques que parce qu’on m’a représenté que c'était une obligation morale. Aussitôt, j’ai été attaqué, caricaturé. Je ne m'en plains pas. C’est le lot de tous les aspirants aux fonctions élues. Mais pour ma part, au début de cette campagne, je tiens à ce que l'on sache que je ne pratiquerai ni les insultes ni les injures. « Dans le tumulte des discours, c’est aux citoyens de démêler le vrai du faux et de donner raison à celui qui a raison. Je n’ai pas à me discui-...