Extrait du journal

N nous en offre plusieurs. Lors que nous avons ainsi, à Vétalaun choix de régimes divers, c’est que celui sous lequel nous vivons, ne donne pas satisfaction. Il se rait vain en effet de vouloir encore faire croire aux Français, qu’ils vivent en Ré publique. Ce n’est du moins pas celle qu’avaient rêvée ceux qui la créèrent. Ils la voulaient belle et généreuse pour tous, vivant de liberté et de fraternité. \u contraire, elle est livrée aux parasi tes qui se sont emparés d’elle et de la caisse publique. Les naïfs d’autrefois sont morts pour elle. Les malins d’à présent s’en font des rentes et se distribuent les places. La liberté, ils l’étranglent; la fraternité, ils la bannissent. Proud hon disait: « Je rêve d’une Ré publique où je serais guillotiné comme conservateur ». L’idée que ce régime ixnirrait être, un jour, en partie aux mains de l’étranger, ne serait jamais ve nue à l’esprit. C’eut été une monstruosité imprévisible. Klle s’est pourtant réalisée et le plus lamentable est que nous nous en accommodons. Des candidats communistes peuvent se faire élire a\ec l’argent de Moscou. Un pauvre diable qui se dirait uniquement...