Extrait du journal

— Nous re vendrons pas la Roseraie, papa, Jamais, jamais I Oh I papa, que j’ai été mé chante et eotte... Elle est tombée à genoux près de la chaise longue et sanglote, la tête dans ses mains. Max a grande envie de s'éclipser, mais il a vu pâlir M. de La Brève ; d'une main pru dente, il touche légèrement l’épaule de la jeune fille, en lui chuchotant : — Pas d’émotions ! Elle est debout sur-le-champ, inquiète et tendre, regardant son cher malade, pleine de remords... < — Non, ce n’est rien, dit le père très tou ché ; les bonnes émotions ne font pas de mal... Tu l’aimes donc, â la fin, cette pau vre Roseraie ? As-tù compris un peu de ce qu’elle est pour mol ? Eveline s’est assise auprès de lui, tenant une de ses mains, gardant son petit mou choir dans l’autre, pour essuyer ses yeux re belles, qui ne veulent pas tarir. Max s’esquive, cette fols, sur la pointe du pied. Vers trois heures, Joseph vient le chercher aux Rousseaux, où il s’ennuie ferme. — Mademoiselle voudrait montrer à mon sieur Buxy la bulle chambre qu’elle vient de faire arranger ,et lui demander conseil pour les meubles. Car, quand monsieur Buxy n’est pas là, on est bien embarrassé chez noue, de puis que notre maître ne peut plus aller et venir ! —- On»l flatteur nue ce Joseph 1 pense Max ;...