Extrait du journal

Quiconque a parcouru une vieille ville a gardé dans son souvenir Finitge pittoresque de ces maisons portées en encorbellement sur des potences bizarement ornées et sculptées, dont les étages supérieurs surplombent et font ventre sur la rue. Jusqu'à la fin du seizième siècle, net asagc persiste. Mais, à partir de ce moment et surtout sous Louis XIV, les maisons perdent cet aspect coquet, se ramènent à des lignes simples et n'ont plus pour ainsi dire de caractere individuel. La maison, dès lors, a des murs unis, uniformément crépis, percés de fenêtres carrées elle renferme plusieurs familles, elle est composée d'un grand nombre d'étages, de logements habités par des locataires nomades. C'est enfin déjà la maison moderne. Si la maison, considéré6 dans sa forme extérieure, dans l'armature de pierre et de bois qui la constitue, s'est considérablement transformée, combien plus encore a-t-elle progressé an point de vue des dispositions intérieures et du confort qu'elle assure à ses habitants...