Extrait du journal

Comment les capitaux ne s’évaderaientils pas quand, chaque jour, ils sont menacés d’inquisitions nouvelles ; quand on projette prélèvements et spoliations ; quand le gouvernement propose la confiscation pure et simple des chemins de fer pour les livrer à l’arbitraire politique et administratif ; quand, au congrès socialiste, M. Compère-morel, après avoir indiqué que le gouvernement a dû subir les volontés socialistes dans toutes ses propositions, s’écrie : mais, dans deux mois, la besogne sera tout autre !...