Extrait du journal

Isàbelte- angélique ique était fille de ce Munimonency-UoutieviHe que Richelieu envoya à l’échafaud pour s’être battu en duel, et sœur de ce petit bossu qui s illustra plus tard sous le nom de maréchal de tijuxem bourg. Les Montmorency, dont une partie dires biens avait été confisquée, vivaient assez chichement dans l’entourage de la famille de Comté avec laquelle ils étaient intimement liés. Mlle de Montmorency et sa sœur aînée, Marie-lvouise, étaient lancées dans toute la société élégante de l'époque. M. Magne, en un chapitre exquis, fait un piquant «tableau de ce monde brillant et corrompu. Les femmes y sont « légères et effrontées pires que dans les maisons publiques... ; ou elles vivent très modestes cachant leur luxure... ; ou elles tripotent outre deux cl y stères utiles à leur teint la désorganisation du royaume... ; ou bien désordonnées,gaspilleuses,ayant couché avec toute la terre, elles choient, brèche-dents et fourbues, dans l’exacte dévotion »....