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Le Progrès de la Côte-d’Or, 5 mars 1888

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Le Progrès de la Côte-d’Or
5 mars 1888


Extrait du journal

PREMIÈRE PARTIE VIII Général, c’est à l’intelligence que Dieu accorde les triomphes certains et définitifs. — Je prends ma part des choses fort élevées que vous me dites là, Ré vérend Père, et je ne me sens point humilié de passerdu coup mandarin. Il ne faudrait pas cependant trop comp ter sur moi pour battre en brèche i’indifférence religieuse de David. — Ne dites pas un mot à David, général ; continuez seulement à vous montrer bon et fervent catholique, ainsi que vous l’avez promis. — Vous croyez donc que mon exemple ?... — L’exemple est plus éloquent que toute parole. — Il me semble pourtant que l’exemple de ma femme n a guère opéré sur mon dragon. — Trouvez-vous qu’il n’ait profité à personne ici? Cette question embarrassa Fuster. Le moine leva les yeux sur lui, et le pénétra d’un de ces regards vifs, in-...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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