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Le Progrès de la Côte-d’Or, 20 décembre 1907

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Le Progrès de la Côte-d’Or
20 décembre 1907


Extrait du journal

IX Jacques • Monsieur le juge... interrogatoire... Misériès... » Qu’est-ce que cela signifiait ? Et ces choses étaient dites tout près de lui.. Il sernolait être question de lui... Mais il se trouvait hors d’état de rai sonner. D’ailleurs, sa pensée, fatiguée par cette courte tension d’esprit, s’alourdis sait. Il retond u dans un état d’inconscience presque absolue. Le lendemain, le médecin sc prononça : le blessé n’était pas en danger de mort. Le coup de couteau reçu ne lésait au cun organe essentiel. I»a perte de sang, seule, avait causé le long évanouisse ment. On allait soigner Misériès le bandit, le remettre sur pied, pour le livrer ensuite à la justice....

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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