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Le Progrès de la Côte-d’Or, 22 mars 1902

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Le Progrès de la Côte-d’Or
22 mars 1902


Extrait du journal

XI Fascination rustique — Tu comprends, continua l’ancien lieu tenant, cette barque très solide, bien cons truite, que tout le monde connaît et qui chavire sous un coup de vent dont personne ne s’est aperçu, an moment où on y pense le moins, ça donne à réfléchir... J’aime mes amis, moi; j’aime Jacques et je l’ai prouvé.. J'aime aussi, je n’ai rien ù le cacher, en tout Lien tout honneur, Mlle Suzanne, d’a bord parce qu’elle est aussi charmante que bonne, ensuite parce que je la crois mal heureuse pour mille raisons et enfin parce qu’elle est la sœur de Jacques. L’ancien maître d’hôtel eut un sourire fin. — Dites doue, monsieur Jean, fit-il, estce que vous ne vous en étiez pas un peu douté jadis ? — Jamais. L’aubergiste fil claquer ses lèvres. — (Test donc parce que vous étiez trop jeune du temps de Mme Audeval ? — Alors, loi, tu te doutais de quelque chose ?...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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