Extrait du journal

Hésitante jusque-là dans sa tâche, elle ne faiblirait point. Marie-Thérèse la voyait nettement celte tâche ; elle envisageait un devoir pour elle sublime... autant peut-être que le sublime dévouement de Pulchérie. Et elles se retrouveraient un jour, Pulché rie et elle. Elle saurait ce mobile auquel avait obéi celle qui, sans sa condamnation pour un crime qu’elle n’avait pas commis, sentit au jourd'hui riche, l’unique héritière de son bourreau. Une souffrance aussi, que la jouissance de celle fortune, revenant pourtant de droit à son père. Marie-Thérèse se retira de son étreinte, mais doucement, sans ce tressaillement de tout son être, que celui-ci eût remarqué à plus d’une reprise, s’il n’eût vécu depuis dit-huit mois tfcns un état d’esprit, qui %...