Extrait du journal

I u des reliques, M. Joseph j Aidai, di~ail à la Chambre : « La luxe sur le philtre d’affaires a été volée liaiivcmenl. Il fallait à loup prix des ressources nouvelles à rendement élevé el immédiat. C'é- j la il un impôt d»' salut publie. Au- f aujourd'hui, je ne crains pas d’pâlirinca que la laïc ne peul pus être maintenue telle qu’elle est sortie l des m-res-ilés créées par la guerre, i Les solutions de fortune que la ; situation dv^e-pérée de nos minaude> imposait ne sont plus défend- 1 daMes. Efforçons-nous, par une j politique équitable et ferme à la j l««i>, de consolider la confiance, > de rassurer le travail, de vaciller i la libellé des transactions par la suppression de ce cumul de taxa- • t mu. si nuisible au développement économique du pays ». Je néglige i b- petit couplet final ; c'est l’ordinaire conclusion de tous les dis- t cours politiques. Mais la critique j «lu début, celle qui s'applique aux lois de fortune qui prennent bien- ; lût mii caractère permanent, a une i portée générale qui me semble ' appeler bien des réflexions....