Extrait du journal

Elle a eu comme Mlle Georges, au premier acte, son cri terrible de lionne blessée : toAssez ! assez ! » Mais au dernier acte and elle se traîne aux pieds de Gejmaro, elle est si humble, si tendre, si suppliante, elle a si peur, non d'être tuée, mais d'être tuée par son fils, que tous les cœurs se fondent comme le sien et avec le sien. On n'osait pas applaudir, on n'osait pas bouger, on retenait son souffle. Et puis toute la salle s'est levée pour la rappeler et pour l'acclamer en même temps que vous....