Extrait du journal

Le plus étrange, c'est que le charme avec lequel M. Dupanloup a ensorcelé le maréchal n'ait pas été rompu même par les élections du i4 octobre. On peut concevoir, en y mettant énormément de bonne volonté, que jusque-là ie maréchal ait pu se laisser convaincre qu'après avoir pris l'engagement solennel de gouverner avec la majorité, son devoir, était de gouverner contre la majorité. On lui affirmait qu'entre lui et la Chambre la Franco no balancerait pas. La Franco n'a pas balancé, en effet : elle est allée droit à la Chambre....